bali

Comme d'habitude, il y a toujours une fin aux vacances....

Avant de partir, je voulais vous montrer cet arbre curieux dont je ne sais pas le nom. Il vit très vieux, les plus gros ont plus de 500 ans. La curiosité ce sont ces racines qui font comme des reliefs en méandre sur le sol. Et il y a ces espèces de lianes qui pendent depuis les branches. Elles poussent très vite. Il faut les couper tous les 3 mois pur qu'elles n'atteignent pas le sol.

Pour cette presque dernière journée, nous avons profité de la plage et du soleil ce matin. Puis quelques courses. Les garçons ont ensuite monté un grillage pour que les bougainvilliers grimpent.

La végétation est ici incroyable, On retrouve certaines espèces de plantes que nous avons chez nous en S. Ici, c'est du XXXXL !

Nous ramènerons dans nos souvenirs ces 2 couleurs, le vert et le bleu. L'odeur envoutante du frangipanier et des fruits. La gentillesse et le sourire des balinais.

Il n'y a qu'une chose qui difficile à comprendre. Comment ne peuvent ils pas avoir conscience que leur île est un trésor et qu'il est plus que temps de réaliser les travaux nécessaires à sa préservation en matière de gestion des déchets. S'ils sont en grande partie générés par l'affluence touristique, le fait qu'ils ne soient pas traités font que certains endroits de l'île, en particulier au sud où le tourisme de masse se concentre, commencent à ressembler à l'Inde. C'est dommage.

Nous profiterons encore de la plage demain matin avant de partir vers l'aéroport en milieu d'après-midi. Notre vol est à 19 h 20. Nous ne verrons pas le décollage sur la mer, il fera nuit.

Il faudra revenir ...

D'ici là, Rémi se décidera-t-il à poser ses valises sur l'Ile des Dieux ???

Nous voilà revenus à Sanur, la végatation luxuriante de Bali mais aussi les autos et deux roues bruyants.

Nous avons adoré Gili et sa douceurde vivre, son calme, ses poissons et ses eaux turquoises.

Nous arrivvons bientôt à la fin du voyage ......

Pour notre dernière journée à Gili, nous avons pris le bateau pour aller faire du snorkelling.

Tout d'abord devant Gili Trawangan où nous avons vu des tortues. Il y en avait deux sortes, les vertes et celles à écaille. Les bancs de poissons étaient très grands.

Le rendu est difficile sur les photos car l'eau est très transparente et le soleil passe à travers.

Nous avons fait un autre spot sur des coraux mais il y avait moins de poissons.

Escale à Gili Meno pour déjeuner. Cette îl est la plus petite et la moins peuplée. Nous étions content de notre choix de Gili Air, c'est le juste milieu entre Trawangan et Méno pour avoir la tranquilité et quand même de l'animation.

Le dernier spot a été au large de Gili Air où nous avons vu de magnifiques coraux, un relief accidenté. Les poisssons disparaissent dessous et reviennent. Il y avait des formes bizzares comme des choux et des couleurs, du vert pomme et du violet, c'était magnifique.

A 17 h 15, nous avons profité de notre dernier coucher de soleil sur la plage avant d'aller rejoindre une terrasse sur la plage pour la happy hour !!

Le temps s'écoule doucement à Gili. Nous profitons de nos journées.

Ca commence par le petit déjeuner, pris au bord de la plage, assis dans le berugak. On prend notre temps, jolie vue et pas d'heure pour partir.

Sortie canoé en mer. Canoé transparent pour voir le fond dans l'eau transparente. Bronzette en même temps. Sieste et lecture l'après-midi.

Le coucher du soleil. Il y a plus de monde que d'habitude sur la plage. Enfin tout est relatif. Il y a au moins 50 m entre chaque groupe de personnes. On est bien loin de nos plages de l'Atlantique en été.

Nous rejoignons le soir le centre un peu animé de Gili Air, un peu plus loin que le débarcadère.

C'est la Happy Hour !! C'est une habitude très répandue ici.

Côté musique, on se demande si Bob n'a pas eu des ancêtres dans le coin. Il est partout. Il est vrai que ça va bien dans l'ambiance.

On choisi son poisson, frais pêché sur un étal et ils l'ouvrent en deux et le font griller au barbecue. Un régal. Un baracuda le 1er soir, un gros poisson bleu le lendemain.

Ah, voilà la connexion qui se décide à charger les photos !!!

Nous avons repris ce matin nos masques et nos tubas pour aller faire un tour de "poissons" !

L'eau est encore plus claire qu'à Amed mais il y avait moins de poissons. Nous avons passé néanmoins un agréable moment. C'est toujours aussi magique d'avoir l'inpression d'être dans un aquarium .

Nous sommes rentrés par la plage en nous baignant plusieurs fois. C'est très agréable cette senstion d'être dans une baignoire qui ne refroidie jamais.

Nous avons silloné le centre de l'île où vivent les villageois qui ne vivent pas du tourisme.

Tout ça, c'était hier mais l'internet ne voulait pas charger les photos.

Ce matin, nous avons fais une sortie en canoé transparent. On voyait le corail et les poissons à travers.

Et après, encore baignade ....

Au retour, les photos ne veulent toujorus rien savoir aussi nous y reviendront.

Nous sommes partis ce matin pour Padanbai où nous avons pris le speed boat. 1 h 30 de traversée plus tard, nous sommes arrivés à Gili Air.

Un petit paradis d'eau turquoise. Après un déjeuner sur la plage,nous avons fait le tour de cette petite île, 1 h20 et 5 km.

Les Gilis sont un archipel de 3 îles à côté de l'île de Lombok. Gili Air où nous sommes, Gili Méno, la plus petite et Gili Trawangam, la plus grande. Cette dernière est considérée comme le petit Ibiza de Bali.

Sur ces îles, il n'y a aucun véhicule motorisé et on se déplace à pied, en petite calèche bringuebalante ou en vélo. C'est très calme et nous apprécions après le tumulte du sud de Bali.

Baignade, lecture et coucher de coucher de soleil sur Gili Méno. On va partir à la recherche d'un petit resto sympa, en bord de plage bien sur !!

Nous voilà rentrés à Sanur avant de repartir pour les Iles Gillis, un petit paradis nous as-t-on dit.

Nous gardons un superbe souvenir de ces plages d'Amed et de la douceur du lieu.

Nous rigolons bien avec nos hôtes, Philippe et Victoria.

Nous avons été dîner au marché de nuit. Du Mahi Mahi grillé, un délice.

Mais il y aussi le boulot, Calou et Philippe ont démonté des murs de bambous. Avec la chaleur, vous n'imaginez pas le boulot !!

Nous voilà de retour à Sanur après 3 h de scooter, un peu mal au dos et aux fesses.

Nous sommes revenus par la route de la côte, c'était superbe sous le soleil, mais nous y reviendrons.

On profite d'un déjeuner au Made Two et de son bon débit internet.

Pour notre dernier jour à Amed, nous avons été faire du snorkelling au dessus de 2 épaves.

La première, à Tumladen, le USS Liberty. Un bateau torpillé par les japonais en 1942. Il a été remorqué pour récupérer sa cargaison et il s'est échoué sur la plage où il est resté jusqu'en 1963. L'erruption du volcan Agung a entrainé des coulées de lave jusqu'à le mer et à repousser l'épave dans l'eau. Bien sur, en plongée ça doit être encore plus beau mais c'était tout de même magnifique. Nous avons vu un requin mais je venit d'éteindre la GoPro.

L'après midi, nous sommes allé voir le Japonese Wreck, au sud d'Amed. L'origine de ce bateau est inconnue. Son nom lui a été donné car les toilettes à bord seraient de style japonais. Nous en avons pris plein les yeux encore une fois de ces poissons multicolores et virevoltants.

Les rizières de Bali sont une splendeur, un paysage qui change au détour d'un tournant, suivant le moment de la journée au fil de la lumière.

Nous sommes dans une île de volcans et, mis à part au sud, le relief est assez conséquent. A certains endroits, on pourrait se croire sur des routes de montagne chez nous, la végétation mis à part. C'est pourquoi les rizières sont en terrasses, ce qui donne un paysage unique.

Il y a trois récoltes par an. Il faut 3 mois entre la plantation et la récolte.

La terre des parcelles est labourée puis mise en eau. Un ingénieux système de canaux serpente autour des rizières. Ces canaux servent également à la lessive, de baignoire, on y lave les scooters etc …

Une fois le terrain bien détrempé, la parcelle est plantée à la main de brins de pousses d'un beau vert. Ce travail doit être éreintant les pieds dans la boue et l'eau, le dos courbé durant des heures.

Le riz pousse ensuite en gardant sa couleur, de ce vert si typique. Les épis se forment, ça ressemble un peu aux épis de blés.

Quand le riz est formé, les tiges prennent une couleur plus jaune, le riz est prêt à être récolté. Les épis sont coupé à la main avec une petite serpette, toujours le dos courbé. IL n'y a à ce moment plus d'eau dans la parcelle. La terre est parfois brulée pour régénérer le sol.

Les épis sont ensuite battus pour que les grains tombent. Ils sont prêt à être mis sur des bâches au soleil pour être bien secs.