Dar es Salam
Nous voici arrivés depuis hier à Dar Es Salam, l'ancienne capitale de Tanzanie. Cette ville n'a pas grand intérêt mais c'est là qu'on prend le bateau pour Zanzibar aussi nous y reviendrons;
Le voyage s'est bien passé. Emirates est une excellente compagnie. Le bémol a été ces 11 heures d'escale à Dubaï. Cet aéroport est immense avec plein de magasins , c'est une ruche nuit et jour. Nous avons échoué dans une sorte de bar lounge à l'étage. On a trouvé une table basse avec 2 banquettes donc après avoir mangé un morceau, nous avons dormi sur les banquettes une bonne partie de la nuit.
L'arrivée à Dar a été un "Welcome to Africa" comme on aurait pu l'imaginer. Un aéroport plus petit et plus ancien que l'ancien aéroport de Denpasar. Une queue interminable pour l'immigration. Il faut ici aussi scanner ses doigts. Il y a ceux qui ont déjà le visa comme nous et ceux qui le prennent ici.
Il fait au moins 40° dans ce bâtiment, il y a des enfants qui hurlent, des gens qui vont et viennent dans tous les sens. Ceux qui rentrent chez eux, ont des montagnes de valises et cartons, il y a les énormes valident des ONG. Après avoir péniblement récupérer les nôtres , il faut encore les passer au scan. Bien entendu, il y a 1 scan pour 3 files mais je sais faire respecter ma place.
Nous voilà enfin dehors ou le taxi de l'hôtel nous attend.
La circulation est fluide par rapport à l'Asie. Les bus colorés circulent en tous sens, c'est dépaysant.
Nous avons été faire un tour dans le centre, nous avons trouvé le port où l'on prend le bateau pour Zanzibar.
Après avoir retrouver, comme en Asie, les barbecues à l'extérieur avec ces odeurs délicieuses, nous avons dîner chez un indien, sur le trottoir. Samoussas aux pommes de terre et plin de saveurs diverses et autres légumes frits puis poulet tandoori. Un régal qui nous a rappelé de bons souvenirs.
Il y a une grosse communauté indienne en Tanzanie.
Aujourd'hui, notre mission va être de trouver un bus. Nous devons être mercredi soir à Arusha, 650 km au nord pour commencer le safari jeudi matin.
A ce soir peut être...